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Cours 27 septembre - Méta - Gabellieri

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Message par Admin Mar 27 Sep - 14:57

27 septembre

Déplafonnement de l’humain
Essai sur les données immédiates de la conscience durée
Le point commun qui unifie les deux concepts, c’est la temporalité
Idée de l’orientation du temps Le temps vise à accomplir quelque chose
Croissance temporelle de l’être très importante chez lui (le développement temporel est inclus dans le concept même de l’être) modalisme alors ?
Différence entre le temps et l’espace : il ne paraît pas orienté (division entre le temps et l’espace donc)
La réalité en soi existe-t-elle ?
Le temps spirituel n’est pas le même que le temps de la physique selon lui.
(Saut qualitatif ?)
Le schème de l’action est d’abord temporel.
Critique sur ce point à l’égard de la métaphysique qui ne pense pas le temps.
Partie 1 : La découverte de la « durée »
• L’Essai sur les données immédiates de la conscience
• Matière et mémoire
(La carte SD n’a-t-elle pas une mémoire, morte en tout cas)
Le donné s’oppose à construit dans la tradition philosophie moderne (d’un côté l’informe qui a besoin d’être unifié par les catégories de l’esprit et la signification)
Bergson va être sur ce point l’anti-Kant. Il faut rester selon lui dans le donné, non dans les catégories etc. Il va être dans le concept de l’immédiat. Penseur synthétique et pas analytique. C’est l’intuition de l’Un qui est importante selon lui. La métaphysique est sous ce sens la première des sciences. L’expérience précède et dépassera toujours le concept. Il n’y a pas d’élaboration des catégories de l’entendement à sa suite.
Sa thèse, dès qu’elle parait, est vue comme opposée au kantisme et au positivisme, qui sont les traditions dominantes de l’époque. Les deux sont d’accord pour dire qu’il y a un absolu auquel on ne peut pas accéder directement (il refuse ce dualisme e qui peut satisfaire soit un kantien soit un positiviste).
En 1907, Octave Hamelin écrit sur les « essai sur les éléments principaux de la représentation » Ce n’est pas un hasard si Bergson choisit plutôt le mot de « conscience » qui montre l’unité des représentations. Opposition entre une unité absolue de la vie, par la volonté chez Schopenhauer qui dialogue contre Kant.
Nietzsche, Bergson, Schopenhauer étaient souvent mis dans un même ensemble, au début du siècle, en tant que philosophes de la vie.

PLAN DE L’OUVRAGE (voir feuille)

Dans la métaphysique grecque, il n’y a pas de science du singulier (formule d’Aristote : science par le général uniquement) tandis que chez Bergson il y a cette articulation entre singulier et universel

Triple point de vue :
- Intensité
- Multiplication (multiplicité qualitative qui ne sépare pas et multitude mathématique qui sépare. La durée est selon Bergson l’interpénétration de tous ces états, dans la multitude qualitative)
- Organisation (la liberté est l’acte par lequel je cherche à unifier ma personne, dans l’organisation, pour la nécessité. La synthèse est nouvelle et donc créatrice.)
Le Danteque ? avait fait un serment de se suicider s’il ‘arrivait pas à dépasser sa pensée du conflit pur des égoïsmes et il rencontra BERGSON. Le matérialisme dans les sciences était alors dominant.

La conscience, à l’inverse, a plutôt, tendance à rassembler qu’à dissocier.

En fait, c’est l’universel lui-même qui est la réalité comme principe d’interaction, l’en soi est l’interaction et non pas il n’y a pas d’en soi parce qu’il y a interaction (donc il faut partir de cette réalité)
L’idée d’objet n’est pas présente chez Bergson (pas de séparation res cogitants/res extensa)

La réduction du temps à l’espace
La vérité du langage est de dépasser ce qu’il a de trop analytique
L’en soi n’est objectivable que par cette réalité là

De l’intensité et de la multiplicité des états de conscience à la durée

La psychologie de l’époque devient scientifique. Elle cherche à appliquer à l’humain les méthodes de la science. Weber a cherché le premier le moment où une excitation devient perceptible à la conscience.
Il y a une critique de l’idée même de mesure des phénomènes psychiques. On suppose que la sensation serait une grandeur qui augmenterait ou qui diminuerait selon l’excitation.
Cette sensation quantitative ne peut pourtant rien dire de la qualitative qui est vécue par celle du sujet. Il ne peut pas y avoir de science de la singularité, dans la science moderne.
(1er type de critique)
2ème critique : je fais comme si je pouvais « isoler » un phénomène qui laisse échapper la totalité de la vie concrète (si c’est total, alors n’y a-t-il pas bien un phénomène isolable, la réalité vécue dans sa totalité ?)

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